Prières de rue : l’hypocrisie du personnel politique français

Une grande prière de rue chrétienne a eu lieu à Paris le 7 octobre dernier sur la passerelle Debilly, rassemblant plus de 250 personnes,  pour “réparer les blasphèmes de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques”, d’après Le Salon Beige, un blog d’actualité tenu par un groupe chrétien conservateur. Il est reproché à cette cérémonie d’avoir tourné en dérision la Cène de Jésus et de ses apôtres.

Au-delà de savoir si ce spectacle représente la Cène ou bien les Dieux de l’Olympe, il est troublant de constater que plusieurs centaines de personnes se réunissent pour une prière de rue sans aucune réaction de la part des membres du gouvernement, si promptes à vouloir faire respecter la laïcité en toute occasion.

La loi n’interdit pas les prières de rue en elles-mêmes, mais elles le sont en cas de trouble à l’ordre public, comme cela peut être le cas lors de cette prière chrétienne qui a bloqué la circulation sur une passerelle piétonne le temps d’une soirée.

Bruno Retailleau, nouveau ministre de l’Intérieur, affirmait vouloir “remettre de l’ordre” dans les rues du pays. Le sénateur communiste Ian Brossat l’a interpellé sur X pour savoir si cela concernait également les prières de rue chrétiennes.

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